Je voudrais comprendre. Pourquoi moi ? [Libre]

"Le ciel d'un bleu froid était parcourue d'un nuage blanc striée de jaune.
Il semblait représenté une mère et son enfant... Présence fantomatique d'un être chère perdu.
La montagne de c'est très aigue s'éleve vers le ciel comme une force antique.
Le vent silencieux balaye les lieux d'un coup sec et froids.
Une voix silencieuse murmure alors entre les feuilles des arbres dansent, "Je voudrais comprendre. Pourquoi moi ?" "

Assise sous l'érable silencieuse la douce enfant fixait le ciel. Elle se demandait pourquoi elle était tombé amoureuse de cet espion au coeur si sombre. Un homme venant tout droit de Pallengad, un homme si étrange et si mystèrieux. Il était a la fois doux, si froid et dur. Comment expliquer l'inexpliquable, comment dire, comment devait-elle vivre avec cet amour... Elle devait se t'aire a jamais et ne jamais parlait de lui a qui ce sois enfin appart peut être avec son frère qui est si on peut dire son seul confident et aussi son seul ami. D'ailleur son frère était présent tout près d'elle il la tenait dans ses bras pour lui remonter le moral. La jeune fille tenait dans ses mains une arme blanche au manche graver d'elfique que lui avait offert Tomoya. Cet homme qui avait plusieur vie, se menteur, ce bel espion doux et mystérieux qu'elle aimé tant. Elle serrait la lame dans ses mains doucement en faisant attention de ne pas se couper avec. Ici a Stonefolm tout semblait morne et gris, la jeune fille avait perdu le goût de la vie en quittant Myriada si précipitemment. Elle n'avait plus envie de travailler non plus, être service des nobles les entendre crachait leur venin sur les Pallengads alors qu'il s'agissait d'être comme eux. Entendre le roi parler de prisionnier de guerre, les torturers tout cela lui semblait maintenant tellement inhumain. Son regard plongeait dans bleu froid du ciel Kistuki resta aussi silencieuse que l'eau qui ruisselait doucement a ses pieds. La servante portait la robe bordeau simple qu'elle avait acheté au marché de Myriada elle ne semblait plus vouloir quittait ses vêtement pleins de souvenir et cet lame qu'elle avait au creux des mains. Son frère la tenait au creux de ses bras, aussi silencieux et nostalgique qu'elle il pensait qu'elle devait partir loin d'ici qu'elle n'avait plus sa place ici. A moins de vouloir la voir aussi triste qu'elle ne l'était aujourd'hui chaque jours. Tout seblait si différent depuis qu'elle avait rencontrer cet homme... Tout lui était sans aucune importance sans lui rien n'avait plus de goût, ni sens. L'amour est la pire des maladie qui soit.