( Revolte )

Le pouvoir on le savoure, c'est bien plus fort que l'amour, bien plus doux que les velours, des femmes qui me font la cour. Le pouvoir, c'est la jouissance et je jouis de leur confiance.
Le pouvoir, c'est fantastique, dans ce monde où tout s'achète, je suis le seul à qui on prête, dans ce monde où tout se vend, on me donne sinon je prends, des nains je suis le géant
Et je mens, je mens, je mens, tout simplement, Vivre au dessus des lois … Ronger par une fierté trop grande, l’ange sombre est si sur de lui et qui ne le serait pas, maître de tout il un contrôle sur n’importe qui dans cette pièce, lui mord ? A vos ordres monseigneur c’est si facile et si bon en même temps, le pouvoir encore mieux que la plus belle des femmes pour une nuit, mieux qu’un présent venant d’orient, rien n’est est égal à un tel contrôle !
Le roi était fièrement assit sur son trône à sa droite une femme aux cheveux couleurs de feu, richement habillé, à sa gauche deux femmes, l’une au cheveux d’ébène et d’autre blonde, couleur du blé le mieux éclairé de toute les contrés, pour dire monsieur était bien entouré comme toujours il faut le préciser et là sagement mais pas moins fier, assit le grand loup sombre, d’un œil vif il balayait la salle.
Silence …
Un garde venait de poser son genou à terre, tient mais où est donc Kaito, qu’importe, le regard glacé du maître des lieux se posa sur cet homme … Alors comme ça mademoiselle fait des caprices, bien on lui faire prendre l’air un petit.

« Fermer toutes les fenêtres et puisque vous ne savez pas faire comprendre la discipline à cette princesse, fais la monter, je commençais à m’ennuyer justement, qu’on s’amuse un peu … ! »

Oh oui un sourire, un sourire si faux, mais avec si moqueur, plusieurs nobles d’ailleurs se mirent à rire, et tout s’enchaîna, quasiment toute la salle poussa un petit gloussement moqueur, déposant son regard sombre sur tout le monde le silence ne tarda pas à s’installer à nouveau, ce qui fit bouger des valets et des servantes fermèrent les fenêtre avec soin …

C’est fou comme une princesse c’est capricieuse, enfin qu’importe ce n’est pas parce que mademoiselle veut faire ses gamineries au le monde arrêterait de tourner, l’ange sombre fit donc un signe de main vers un jeune valet qui ne tarda pas à s’approcher, il avait même plutôt intérêt à courir. Le roi lui demanda donc avec un ton méprissent mais tout à fait naturel d’aller chercher l’espion fraîchement engager par Kaito son conseiller, pour être plus clair cette infâme imposteur qui avait réussit à entrer sans trop de difficulté mais malheureusement pour lui il ne fut jamais livré à lui-même donc impossible de faire des bêtises ! Après ce-ci ce fut le tour d’un messager qui ramena un lettre, portant le sot d’un seigneur bien connu du maître des lieux, ouvrant avec fierté le courrier il se pressa donc de passer son regard gelé sur les mots, Parfait !
Un silence soudain ce fit entendre, il ne restait plus que l’un ou l’autre chuchotement, la jeune femme aux cheveux feu posa alors sa main sur l’épaule du monarque, celui-ci redressa son regard pour tomber sur quoi ? Ou plutôt sur qui le mot serait plus juste, sur une enfant pourrie gâté qui refusait de s’alimenter, ah les adolescents … Tous les même au fond, dés qu’il ne sont plus satisfait op c’est la rébellion, une bonne correction avec un bâton bien dur leur ferait le plus grand bien tien t !

« Alors comme ça mademoiselle nous fait des caprices … »

Lui dit-il après l’avoir soigneusement dévisager comme il sait si bien le faire et pour gratiner le tout après son premier mot, il replongea son œil méprisable sur la feuille de papier, faisant simplement comme si la princesse n’était qu’un détail, mais oubs j’oubliait elle est un détail, sauf qu’elle a de la valeur et qu’en tant de guerre une telle prisonnière peut faire la différence entre victoire et défaite, oui Kyoya la voyait plus comme une simple monnaie d’échange !

Ouh mademoiselle semble énerver ? Et alors …
Il fallait dire que le roi n’observait pas la jeune fille mais ce n’est pas pour autant qu’il ne l’écoutait pas, de plus il savait très bien qu’elle le fixait, seul Pallengad est asser stupide pour soutenir son regard, si seulement il pouvait, donner l’ordre qu’on égorge cette enfant, cruelle ? Pas du tout, mais ça lui ferait un tel plaisir que d’envoyer le corps sans vie de la princesse à son père, pour que cet homme si blanc souffre aussi, que l’image de son pire ennemi entrain d’achever son enfant le hante jusqu’à sa mort, mais même s’il le faisait sa vengeance ne serait pas parfaite, lui voler ses enfants ? Certes un sentiment de satisfaction, mais ce qu’il voudrait lui dérober le plus au monde c’est sa femme, l’amour de sa vie, comme quoi les sentiments sont une faiblesse, depuis 18ans il vivait avec l’image de Pallengad entrain de tuer son aimé, si seulement il pouvait rendre à Kenji la monnaie de sa pièce, si seulement …

« Enfaîte je me contre fiche de tes états d’âme si ça en tenait qu’a moi tu ne serais même plus en vie , sauf que tu peux faire la différence entre victoire et défaite, te rendre vivante sera donc un bien plus grand avantage que le contraire ! »

Pourtant on doit vous apprendre les bonnes manières à Pallengad ? Non …
Kyoya parlait toujours avec une profonde indifférence, toujours l’œil sur son document, le silence s’était à nouveau installer jusqu'à que l’un des deux gardes tira l’enfant vers le bas et c’est là qu’il dévia son regard dans celui de Kaori, toujours si insolente de l’œil, qu’importe elle était à genou devant lui que demander plus, soumise par la force de deux hommes, j’ai le droit de me moquer ? Pourquoi je me générais …

« Je te savais insolente, mais je pensais qu’à Pallengad on donnait à ses enfants un minimum de bonne manière ! Comme quoi on élève mal le fils, la fille c’est pas mieux ! »

Ce regard, œil malin et odieux remplit de fierté et de puissance ce posa alors sur un conseiller, qui se mit lui aussi à sourire il avait très bien comprit à quoi faisait allusion le monarque !

Tient l’espion est de retour toujours sagement garder par une demoiselle, mais moi ce qui m’intéresse le plus c’est toi petit ange, ange qui a eu le malheur de naître blanc, la malchance de tomber dans mes filets, tu es le fruit entre l’amour d’un roi et d’une reine mais à l’heure où je pense à eux, j’espère qu’ils sont séparés, oh mon enfant tu sais j’ai trouvé le moyen d’atteindre tes parents, brisé leur amour et l’un de mes plus grands rêves, je touche à leur enfant et à leur bonheur que de plaisir !
Envole toi, mais tes jeunes ailes n’ont pas encore la rapidité des miennes !
Posant un œil froid sur le couple qui venait rentrer il ne se donna pas la peine de répondre, ce cou d’œil suffit pour Kaori en profite et c’est grimacent à moitié qu’il s’envola, une buse lancé sur proie, droit vers elle l’assemblé se tenait au silence les plus totales, la situation, étaient sous l’émerveillement du ballet des deux anges, deux contraires, la plaquant contre le mur en hauteur leur crânes n'étaient pas loin du plafond , nan il l’avait jeter contre le mur pour être plus exacte, lui attrapant les poignets, il se colla totalement contre elle, lui faisant goutter au délice de son regard de serpent, elle si sensible au émotions, souvenons nous la dernière fois que les deux anges furent aussi proche l’un de l’autre, la douce enfant eut un malaise, ça serais dommage que ça recommence. Le dégoût je vais vite te l’inspiré ma douce … Sous l’œil si attentif des archers, le roi frôla de ses lèvres le cou et la joue de la jeune fille avant de lui glisser à l’oreille des mots si doux que même le venin de cobra n’en viendrais pas à bout !

« Te voilà à nouveau impuissante et cette fois-ci Maman n’est pas là pour te sauver ! Hurle Kaori, tu es a moi … ! »

[Stop Tomo y a un problème, moi et Kaori on est au plafond casiment, tu peux pas vraiment attraper mon pied Mais bon pas grave attend la réponse de Kao ! ]

[ Bah Kao' c'est le monde de partir ... Passer par la fenêtre quoi xD ]

A vrai dire l’ange sombre n’avait pas vraiment attention, il était bien sur resté méfiant jusqu’au bout mais il avait laissé l’espion de Pallengad à l’une des gardes, elle ne l’avait donc même pas un minimum questionné ? Et oui le roi rejetait la faute sur quelqu’un d’autre, de toute façon il en le droit mais qu’importe un homme à réussit à s’infiltrer sa montre qu’il y encore du mouvement du côté de Pallengad, il fallait bien que la roue tourne Stonefolm ne peut pas toujours gagner même si le maître des lieux veut le contraire.
Suite à la chute du monarque personne n’avait rien dit, et de toute façon il valait mieux pour eux sauf une personne, bien sur le bruit des armes, des ordres des chefs d’armée présents s’entendaient mais de là à parler au roi, ce cher conseiller sombrer doucement. Il était donc temps de faire comprendre à ce jeune homme qu’il y des mots qui se dise et pas d’autre, Kaito je te pensais un minimum plus respectueux, ton insolence te perdra, toi qui fais le fier devant tout le monde mais devant moi enlève ton masque et soumet toi, le maître ici c’est moi et pas un pauvre imbécile de ton genre qui aura l’honneur de me parler comme tu viens de le faire, tu n’as pas le génie pour me renverser et même tu serais surpris que la relève ne te reviendra pas , alors ton claper comprend qu’il doit rester clos, tu veux m’enfoncer, ne t’inquiète pas je te rendrais sagement et avec honneur ce qui te reviens, juste histoire de te remettre à ta place de conseiller et pour te calmer le venin sera puissant n’ai pas peur pour ça !
L’ange sombre sur le sol, les belles plumes d’ébène contre la blancheur du marbre, un grand nombre de personne présente te précipitaire vers le maître au sol, histoire de l’aider à se relever, histoire de mieux faire se faire voir par la suite mais le roi savait se relever seul jetant un regard dévastateur à tous ceux qui avaient eu l’intention de l’aider, une fois redresser, il ne tarda pas à s’imposer de nouveau, levant les yeux aux ciel au plafond, la voyant s’enfuir, les morceaux de verres qui se brisait, et deux flèches qui atterrir droit dans leur but, la blancheur innocente des plumes de l’enfant se souillèrent de rouge, poussant tout le monde il se dirigea vers la fenêtre la voyant tomber, elle allait donc mourir, son sourire malicieux se mit alors à apparaître, tant de faux en lui, de haine, princesse tu étais pourtant belle, à te voir tu es devenu un véritable ange déchu, que mon venin, que toute cette colère que je nourris chaque jour envers ton père te reste en mémoire, toi et famille, de simple vers qui eut de la chance, j’ai su toucher, mère et fille, reste encore à briser le fils et j’aurais gagner, vous vous croyez fort, j’attend de voir, ennemi d’un jour et de toujours pour sauver ta fille tu m’envoie quoi ? Un pauvre espion, pitoyable spectacle, une fois de plus tu me prouves ta stupidité, dommage mais la vie de cet homme s’arrêtera ici …
Ce silence, cette image, Kaito en avait profité pour s’éclipser discrètement, silencieux et fier comme toujours, qu’importe, l’ange noir s’approcha alors de cet espion, tous les militaires de la salle était regroupé autours de lui, deux hommes l’avait mit à plat ventre et face au roi, le menteur eut le droit à cou de pied dans le bassin jusqu’à qu’il se redresse, jusqu’à qu’il soit à genou devant Kyoya et alors l’œil fier et si méprisant du monarque s’abattu sur lui, un garde prit Tomoya par les cheveux et les lui tira en arrière brutalement.

« C’est gentille de nous avoir aidé à la tuer ! »