Tout est trop calme ...

[ YUi ]

Un soldat reste soldat un roi reste un roi, rêveur songeur penseur, c’est dans ce genre de moment que l’homme noir voudrait être quelqu’un de normal, un être inconnu aux yeux de tous mais comment dire non à ce pouvoir qu’il avait entre les mains ? Cette supériorité face à n’importe qui, vivre au dessus des lois, Dans ce monde où tout s'achète, il est le seul à qui on prête on lui donne sinon il prend, avoir un tel emprise sur tout le monde, un pouvoir qu’on lui envie c’est simple être puissant, être convié avoir tout ce qui est de plus beau, des femmes, des l’argents que demander de mieux dans la vie et pourtant rien n’est parfait … Cette puissance si magique, laisse rêver les petits enfants, adulte tu n’as plus le choix incline toi sans un mot, un seul regard u souverain tête sera couper. Rien que d’avoir ses pensés qui n’étaient pas des plus blanches, l’ange noir souriait, un regard remplit de malice, plus fort que n’importe qu’elle serpent, un trop plein de fierté et d’ambition était en cet homme, mais se sont bien ses défauts qui font de lui un bon roi. Dans cette haine provoquer, une colère qu’on avait installée dans une âme d’enfant, un simple gamin qui avait simplement eu de la chance d’être naît dans un château, héritier d’une grande puissance, mais aussi successeur d’un chef de guerre aujourd’hui en lui tout restait si sombre, Kyoya est un mystère c’est bien connu ! Une histoire remplit de trou, un caractère spécial comme s’il était formé de blessure de guerre ses états d’âme avait toute une histoire, il était ainsi à cause de ça, des légendes rodaient même autour, rappelons nous il y vingt ans il était fiancé à une femme magnifique, pourquoi donc a-t-il annulé cette union ? Si seulement le monde savait, mais comme dit le secret doit encore rester entier, c’est certainement le seul secret que l’ange sombre avait réussis à garder, comme dit une fois mais pas deux….
Cette maison, ce refuge familiale, cette pièce ce grand bureau avec un balcon qui donnait sur la plage du site, un cadre parfait et l’imperfection est dedans,l’ange sombre était ici depuis une bonne heure, traitant lettres et documents il savait qu’Asa était non loin de lui, à l’abri pourrait-on dire,buvant encore une gorgé de ce liquide foncé, du vin posant sa coupe de cristal sur le bois, jetant un œil dans le couloir de ses appartement Io dormait toujours sagement en face de la porte mais ce calme n’allait plus durée longtemps !

N’oublie pas qu’une fois que le poison s’est insinué dans tes veines, il n’en sort plus jamais.

Ou était le roi ? Je devais trouver le roi. Je voulais lui parler, lui demander une mission que je me ferais un plaisir de réaliser. Il avait annulé l’autre, celle de l’enfant, pourquoi ? Tenait-il tant à avoir une descendance ? Ces hommes importants étaient tellement incompréhensibles. Un jour oui, un jour non. Sa soubrette lui avait-elle fait des gâteries spéciales pour le faire accepter de ne pas mettre fin à une vie ? Quelle était la raison de ce brusque changement de situation ? Qu’importe, j’avais beaucoup mieux à penser que les états d’âme d’un roi perdu. Il n’était pas dans son bureau et on m’avait dit qu’il serait sûrement dans le refuge. Je ne connaissais que l’existence de cet endroit par certaines rumeurs mais je ne savais pas qu’il existait vraiment, après tout, c’était un refuge et tout le monde connaissait son existence, étrange non ? Le petit château était bien là où on me l’avait indiqué et j’entrais déjà, poussant la porte, pénétrant dans l’enceinte du bâtiment. Le roi devait sûrement être dans quelconque pièce. Je traversais le hall. Le petit château ? C’était bien là des nobles qui avaient parlé. Par l’encadrure de la porte, je l’apercevais alors. J’entrais et le regardais boire une dernière gorgée de son vin. Je m’approchais du bureau et m’asseyais sur le bord, prenant le verre de ses doigts.

« Félicitation au futur père. »
Souriais-je narquoisement.

Je portais le verre à mes lèvres et buvais quelques gorgées, je posais faussement le verre au bord du bureau et le faisait se renverser sur le roi dont la chemise se voyais tachée du liquide vermeille. Ma main se posait alors sur ma bouche, comme si j’étais génée.

« Oups, excusez moi, que je suis maladroite. »
Riais-je niaisement, imitant toutes ces pimbèches.

Je me levais alors et me tenais face à lui. Mon rire s’évanouissant tout autant que mon sourire. Je plongeais à nouveau mes yeux vairons dans les siens et me penchais, le regard plein de haine et à la foid si froid.

« Que ce soit claire, quand une mission est donnée, elle n’est pas retirée. »
Dis-je mauvaisement.

Je me redressais alors et m’asseyais dans le fauteuil face à lui, croisant naturellement mes jambes. Je portais mes bottes, mon pantalon en cuir serré, un corset noir. Mes cheveux d’argent étaient ébouriffés, comme à mon habitude, ce qui me donnait cet air affreusement sauvage, farouche et surtout innaprochable, impossible à apprivoiser.

« Je viens vous proposer une mission. Cette mission est aussi une faveur que je vous demande. Votre conseiller m’a l’air bien sûr de lui, il serait temps de le remettre à sa place, laissez moi ce plaisir. »
Articulais-je.

Douce et sage enfant que tu étais, quel supplice t’a infligé la vie pour que tu sois ainsi, à te voir entrer de cette façon on direct une simple adolescente rebelle qui veut se croire au-dessus de tout le monde mais mon enfant apprend bien si mes mots sont plus diplomates que les tiens mais ordres et mes gestes peuvent se transformer en pire cauchemar, prend toi pour un maître je serais te faire devenir esclave. L’ange sombre ne bougea pas, il savait pertinemment que si cette enfant était ici c’est qu’elle voulait quelques choses, on ne tombe jamais sur une femme par hasard de toute manière et il ne lui fallu pas longtemps pour non seulement se montrer insolente quoi à force on commence à si faire, mais tôt ou tard c’est à elle qu’il faudra lui faire ravaler sa langue. Mademoiselle n’est pas contente et bien tans pis c’est pareil pour qui te prends-tu pauvre orpheline, enfant oublié par ses géniteur ou peu être erreur de la nature, tu veux répandre ton poison chez moi fait mais je te salierais avant, tu veux être grande et bien soit le jusqu’au bout mon enfant !
Petite sotte, d’abord tu veux faire la maligne et après tu veux faire jaillir du sang sou mon nom, laisse moi rire, me moquer, tu es si drôle quand tu veux, mais surtout pitoyable, ton jeu n’est que gaminerie et les enfantillage sont fait pour les enfants, mais du haut de tes 17ans et tu vraiment femme ? Et-tu si puissante et intouchable que tu veux le faire croire, oh oui ta stupidité et trop grande et un jour ton jeu te perdra mais tu es encore bien trop jeune pour savoir comment en sortir, et moi je suis apte à te pigé, laisse moi jouer !
Le loup gris escorta l’ancienne Pallengad jusqu’au seigneur, la tête basse, les oreilles en arrières, il était simplement prés à attaquer à tout moment, son œil jaune était aussi mauvais que celui de son propriétaire et une fois que Yui eut fini de traduire une sorte de haine parce que madame n’eut pas le droit de tué, l’ange sombre se redressa, et s’approcha d’elle, posant alors sa main sur ses cheveux, un geste qui pouvait sembler tendre et délicat mais les apparences sont bien trompeuses surtout avec cet homme, et d’un geste brusque et surprenant il empoigna les cheveux de l’adolescente, les lui tirant en arrière, de cette façon sa tête bascula, et son regard se trouva dans le sien, il ne tira pas sans douleur mais sans trop lui faire mal un juste milieu agaçant mais amusant pour lui, jouer entre douleur et plaisir …

« Les missions c’est moi qui les ordonnent et quand je veux les retirée je le fais, ton avis n’est pas nécessaire, surtout … ! »

Il se pencha vers elle, venant jusqu'à son oreille, ses lèvres frôlaient presque le lobe de son oreille, un geste, une provocation qu’il ne se lassera jamais d’affliger !

« L’avis d’une femme … ! »

Lâchant ses cheveux, lui donnant un cou pour redresser sa tête, il reprit place devant son bureau, jetant un œil sur le loup sombre, celui-ci était sagement mais toujours méfiante, allonger conte la porte ouverte, barrant le chemin à quiconque voulant entrer dans la pièce.

« Pourquoi je te laisserais ce plaisir ? Pourquoi toi et pas un autre, que t’a-il fait pour que tu me demandes ça ?! »

» Usant de tout pouvoir.
» Peureuse ? Pas du tout xD [Choupinou xD]
» Tout simplement... merci !
» Tout simplement bravo.