En quête de savoir

De ses pas légers, Noellu avançait dans les nombreux couloirs du château du souverin de Stonefolm.Elle ignorait où elle voulait aller, à son réveil elle se dit qu'elle avancerait dans les couloirs et si elle trouvait un endroit particulier, elle irait s'y aventurer comme à son habitude.Voilà une semaine qu'elle était arriver au château, une longue et ennuiyante semaine.Elle n'avait même pas encore rencontré le roi, elle connaissait son apparence puisque ses parents adoptifs lui avait montré un portrait.Noellu aurait bien pu utiliser ses dons de voyances afin de le trouver mais, elle se disait que si le roi aurait besoin d'elle et bien, il n'aurait qu'à venir la voir.C'était ça son travail, non? De toute façon, elle connaissait bien la réputation du roi auprès des femmes et elle se disait toujours que son charme n'aurait jamais aucun effet sur elle, Noellu était si difficile à séduire.Elle continua de marcher dans les nombreux couloirs jusquà ce qu'une pièce en particulier attire son regard, la bibliothèque.Un lieu où la sagesse et le savoir n'avait aucune limite, le lieu préféré de Noellu après les jardins.La musicienne marcha à travers les rayons, plusieurs des livres qui y étaient, elle les avait déjà lu.Parfois elle se demandait si elle avait lu tout les livres de Stonefolm.Elle était certainement plus intelligente que le Roi mais, elle gardait cette remarque pour elle bien évidemment.Son regard se perdit sur les nombreux titres qu'il y avait sur chaques libres des grandes étagères.Son regard se stoppa net sur un ouvrage qui semblait fort interressant, l'encyclopedie des grands chevaliers. Noellu leva son bras droit afin de prendre le livre mais, elle n'arriva pas à l'atteindre, voilà qui était géniale. Elle se mit à sautiller pour essayer de le prendre mais, c'était impossible. Elle regarda les alontours, aucune chaise, aucun banc, voilà qui était dommage.La musicienne continua de sautiller afin d'atteindre le livre.

L’ange sombre un homme fidèle ? Très drôle, cet homme aux idées noirs n’avait certes le cœur prit mais ce n’est pas pour autant qu’il se priverait de son plaisir et ce n’était pas pour rien qu’il venait de s’offrir une autre dame, aux cheveux couleurs d’ébènes il l’avait exiger, monsieur ce lassait vite des filles qui l’entourait c’est bien pour ça qu’il changeait souvent, mais elles étaient toujours trois à l’accompagner, trois femmes misent à l’honneur en s’affichant avec le monarque.
La nuit avait enveloppé le paysage depuis un bon moment, l’astre de ce temps était fièrement à sa plus haute place cachant aucune de ses facettes se montrant simplement sous son véritable jour, mystère de vie la lune reste une science des romantiques rêver en dessous de ses lumières, pleurer et n’avoir que ses rayons pour consolation. Si seulement le monde n’avait pas été ce qu’il est aujourd’hui, si seulement un être si sombre avait la femme qui hantait son cœur à ses côtés, si seulement mais roi rêve tu es dans ton droit, un jour Pallengad eut l’outrage de toucher une corde trop sensible chez l’ennemi, elle aurait fait une si bonne reine, une femme, une mère, une épouse parfaite, si seulement ses ignobles l’avaient laissé vivre heureux mais non il fallut qu’il le prive de ce bonheur, les condamnant par ce geste, un coup de guerre fait trop souvent, faire couler le sang … Tout ça le tracassait encore énormément, venant rajouter à ça, sa jolie servante qui avait trouvé les mots pour l’attendrir, et cet enfant, tellement de chose qui venait s’accumuler, passons sur les histoires externes !
Ce soir là, Kyoya déboula dans le couloir, quand je dis débouler c’est pousser vous j’arrive, mais bon les habitants du palais avaient tous l’habitude des sautes d’humeurs du maîtres des lieux, donc quand celui-ci est dans les couloirs, il ne vaut mieux pas être sur son chemin, silence pesait fortement, son œil sir froid et méprisant était poser sur les portes de la bibliothèque, deux gardes ouvrirent la porte pour laisser passer le souverain. Le seigneur s’assit donc sur le rebord de la fenêtre, il entendit la porte s’ouvrir à nouveau, mais la silhouette de cette personne était cachée par les rayons de livre qu’il avait étudié dans sa jeunesse. Quelques minutes s’écoulèrent avant qu’il n’entende comme quelqu’un entrain de sauter, un enfant ? Non … Il se leva donc prit le pas pour découvrir une femme qui était trop petite pour attraper un livre. Il ne l’avait jamais vu, et ses cheveux étaient sombre, noirs, couleur de l’ébène, ça devait être elle alors … Il s’approcha s’imposant par sa carrure dans le tableau, l’observant avec un œil remplit de fierté sans pour autant la dévisager mais son œil n’était pas doux comme celui d’un poulain non plus, tout restait agressif chez lui, il faut juste en savoir le degré ! Il tendit son bras au-dessus d’elle, et prit le livre sur lequel était posé son regard, le sortant de son rayon il le ramena donc à sa hauteur.

« Voilà ! »

Quelle ne fut pas la surprise de la musicienne lorsqu'elle vit une main au-dessus de sa tête apparaître pendant qu'elle tentait d'atteindre un livre qui n'avait pas été placé à sa hauteur.Cette surprise eu pour effet de la faire sursautée, juste un peu pour montrer qu'elle ne s'y attendait pas.Il était rare qu'elle avait rencontrée des hommes bien élevés dans ce bas monde.Elle se retourna et du cligner deux fois des yeux pour faire sûr si l'homme qu'elle voyait était bien le roi en personne.Elle prit timidement le libre qu'il tenait dans les mains et le serra des ses bras tout en regardant le monarque.Qu'est-ce qu'elle pouvait dire maintenant? Désolé monsieu d'être trop petite? Voilà qui était ridicule, elle s'inclina doucement en signe de respect et n'eu pas peur de le regarder droit dans les yeux.Elle n'allait certainement pas faire sa soumise même s'il s'agissait du roi.

-Ravis de vous rencontrer enfin, mon roi.

C'est tout se qu'elle avait trouvé à dire.Même en étant l'une des femmes les plus intelligentes, elle n'avait rien trouvé d'autre à dire à son roi qui était d'ailleur son maître.Elle souria de ses belles dents toute blanches et décida de finalement, reprendre la parole.

-Vous semblez frustré mon roi, est-ce moi qui vous met dans un tel état?

Les premiers gestes, premiers regards, trop détails mais très révélateurs, c’est bien souvent avec des petites choses qu’on trouve de grande réponse et là il n’y avait pas photo. Il aimait analyser, juger, critiquer, se moquer, s’appuyer sur des défauts pour rire mais bien sur il ne se montrait mauvais qu’envers ses ennemies ou des gens qu’il le méritait, pas besoin de tout ça sur cette dame. Elle soutenait son regard intéressant mademoiselle, comme certaine elle n’était pas totalement soumise, au bien sur elle le sera bientôt mais pour le moment ça pouvait être un jeu intéressant, a force d’avoir ce qu’il voulait trop facilement l’ange noir s’ennuyait rajouter un peu de piment ça l’intrigue immédiatement plus !

« Moi de même Miss Isumi ! »

Frustré ? Un peu et alors ?
Le monarque laissait rarement ressortir des sentiments, pour lui comme pour sa réputation il était impérative d’être toujours un bloc de roche sans cœur et pourtant le cœur était belle et bien présent, souffrant mais toujours en silence, il avait rapidement comprit qu’une fois sur le trône il fallait savoir oublier la vie privé, les sentiments c’est pour les faibles et de ce point de vu là il avait un très grand avantage sur son plus grand rival …

« Les affaires habituels rien de plus, non mais il est rare que je rencontre des gens, la bibliothèque est souvent déserte ! »

Noellu était toujours en train de regarder le monarque, alors c'était ça, l'homme qui faisait craquer toutes les dames de la cour.Voilà une chose qui la faisait bien rire, silencieusement bien entendu.Elle n'était certainement pas pour rire du roi en sa présence, elle se ferait certainement pendre sur le coup.Le monarque semblait vraiment très énervé malgré le fait qu'il tentait de le cacher à la plupart des gens.Noellu aurait bien voulu se mettre à lire son livre mais, se serait certainement très impoli puisque le roi était là.N'aurait-il pas pu la rencontré lorsqu'elle était dans un autre endroit.Elle souria à la remarque, il est vrai qu'il n'y avait jamais personne dans cette bibliothèque sauf elle pour le moment.De nos jours, plus personne de voulait devenir plus intelligent qu'il ne l'était déjà.Une chose qui la vexait un peu parfois lorsqu'elle entrait dans ce lieu si merveilleux.

-Peut-être qu'un bon massage vous ferait le plus grand bien, je suis disposée à vous en offrir un si vous le voulez bien?

C'était la seule chose qu'elle avait trouvé qui pourrait détendre le roi, de plus, se n'est pas comme si elle ne voulait pas le faire.

Tu ferais là une grande erreur en te moquant de lui, elle ne sait certainement pas encore que l’ange sombre à des yeux et des oreilles postés un peu partout dans le château, ça serait bien dommage pour elle de périr pour une telle gaminerie …
L’expression du maître des lieux restait toujours plate, non, non il jouait toujours son jeu parfaitement et ça depuis bien des années, attention les humeurs du roi sont si vite changeante et il ne valait mieux pas l’énerver, après pour ceux qui aime le danger et souffrir. Oh si combien de fois dans la journée des réunions se déroulaient dans la bibliothèque, l’utilisation militaire des livres de géographie étaient simple essentiels mais il vrai que pour le reste, seul les jeunes étudiaient ici, sciences, maths, histoires …

« Pourquoi pas, puisque tu me la propose, on va monter dans ma chambre alors … ! »

Il observa ses cheveux une dernière fois, avant de prendre le chemin de la porte, non qu’il fût pressé mais il ne trouvait pas vraiment nécessaire de l’attendre, c’est une grande fille après tout !

Noellu déposa le livre qu'elle aurait tant voulu lire sur une petite table, espérant que lorsqu'elle reviendrait, il serait toujours là.Se qui l'étonnerais un peu.La musicienne regarda une dernière fois les nombreux ouvrages avant de marcher vers la sortie auprès du roi, elle marchait derrière lui sans dire un mot.Elle n'était pas très bavarde la plupart de temps, lorsqu'elle avait des questions, elle consultait les cartes de tarots ou seulement son don de voyance.Peut-être devrait-elle utiliser ses dons de voyances afin de connaître le passé qui semblait troublant du roi, voilà une chose qui serait forte interressante.Même si elle faisait partie des maîtresses préférés du roi(Si je peux dire cela comme sa), elle n'avait jamais visité la chambre de celui-ci.Il fallait dire aussi qu'il n'était jamais venue la voir.Trop de maîtresse à combler en même temps se disait-elle.Cette pensée intérieur lui fit afficher un sourire sur ses lèvres roses.Elle avait le don de se faire sourire elle-même, se qui lui faisait peur parfois.Au lieu de se poser d'autre question, elle se contenta de suivre le roi.

L’ange sombre n’avait pas besoin de regarder en arrière pour savoir qu’elle le suivait, sous un certain sens elle n’avait pas le choix, elle s’était jetée de son propre chef dans la gueule du loup et elle savait certainement ce qui l’attendait. Marchant tête haute, imposant sa carrure dans le tableau, le roi ne passait jamais inaperçu quand il était dans les couloirs, de toute façon il valait mieux pour tout le monde s’écarter en s’inclinant poliment, un respect qu’on lui devait et celui qui ose enfreindre les règles sera sévèrement punie, retour en arrière, souvenons nous une femme lui avait manquer de respect, un assassin c’était chargé de lui faire ravaler sa faute donc la preuve qu’il ne faut pas sous-estimer le maître des lieux. Au passage, un homme richement vêtu mais portant des galons de soldat l’interpella, en silence et lui donna un document, le monarque lui répondit par un simple hochement de tête gardant le document entre ses mains il reprit la route et une fois face aux escaliers, il décolla, bah oui quand on a des ailes autant s’en servir, Kyoya ne montait jamais les escaliers il les survolait toujours et une fois en haut, il se posa sur le sol qu’une fois face à la porte de sa chambre et là encore deux gardes étaient postés et lui ouvrir la porte, il leur précisa qu’il pouvait laisser la porte ouverte. Le roi entra donc dans ses appartements, prit la direction de son bureau, s’y installa et ouvrit le document qu’il venait de recevoir en attendant Noellu !

Oh oui, Noellu savait à quoi s'attendre.C'était ça son devoir, satisfaire le roi n'importe où et n'importe quand peut-importe la raison, peut-importe si elle le voulait où non.Mais, cela ne la dérangeait pas, elle pouvait au moins être près du roi et savoir se qui se passait dans la château, voilà le bon côté des choses.Il avançait toujours derrière le roi jusqu'à ce qu'un homme donne un document qui avait l'air tout de même assez important aux yeux de l'homme richement vêtu.Après cette brève rencontre, elle continua sa route derrière le monarque.Son destin était donc de satisfaire un roi, génial comme destinée.Lorsqu'elle arriva aux escaliers, le souverain avait déjà prit son envol afin d'arriver rapidement à sa chambre.

*Paresseux va...*

Elle leva un peu le tissus de son kimono et monta les nombreux escaliers sans fatigue, se n'était pas quelques marches qui allaient l'épuiser.Elle avait déjà escalader des collines plus imposantes que cela.Les gardes la laissent passé et Noellu fermit la porte dès qu'elle entra dans les appartements royaux du roi.Elle alla près du bureau de celui-ci et s'arrêta seulement à quelques pas.

-Alors...Quand pourrais-je commencer?

Fainéant et alors ? Ton avis il s’en passera volontiers de toute façon tu n’as rien à dire, qui es-tu pour juger ce qu’il fait, bref l’ange sombre ne fit pas vraiment attention à l’entrer de la jeune femme, il préféra se concentrer sur ce document, le lissant avec attention, il finit par le jeter à moitié sur bois sombre et se leva, de là il observa un instant encore une fois la femme en face de lui avant de tourner son regard, on pouvait entendre des bruit sur le parquet, mais ça n’inquiéta pas plus le monarque au contraire il fixait la porte d’une pièce avec attention, et là il débarqua, le grand loup gris du roi dormait dans l’un des petits salons, et comme toujours quand il entendait son maître venir il se devait de lui dire bonjour, arrivant à vive allure, glissant à moitié, mais une fois qu’il vit la jeune femme, le chien sauvage se stoppa net, il ne montra pas les crocs mais ne se montra pas d’un air joyeux, il était comme son propriétaire, avide de sentiment envers les inconnus, il n’y avait qu’avec Kyoya qu’il s’exprimait vraiment, celui lui offrit alors une rapide caresse avant de lui ouvrir la porte du balcon pour le faire sortir, après ça il tira les rideaux et s’avança vers Noellu, toujours si fier quoi que depuis le premier regard qu’il avait échangé, ses yeux bleus s’étaient adoucis, doucement il fit glisser sa main le long de sa joue, elle avait la peau douce, comme toutes les femmes, une peau perle, tout est si simple quand on a le pouvoir, quand on veut une femme on l’a, quand on veut voir mourir quelqu’un sa tête tombe si bon ce contrôle qu’on a sur tout le monde c’est presque jouissif, et pour rien au monde on abandonnerait ce pouvoir … Dans ses gestes il était doux, mais pourtant son regard restait sombre, une colère qui ne le quittait plus, sa main glissa alors le long de son cou, frôlant presque son décolleter, un geste maladroit au non il savait très bien ce qu’il faisait !

Le souverain lisait son document, celui-ci était donc plus important qu'elle, pour le moment bien sûr.Des bruits de pas rapides se dirigaient vers eux, le roi regardait une certaine porte, par curiosité, Noellu ne put s'empêcher de regarder.Un loup assez imposant par son allure fit irruption dans la pièce, l'ancêtre du chien.Les loups étaient de magnifiques créatures, solitaire ou vivant en meutes, peut-importe le nombre qu'ils étaients, ces animaux sauvages pouvaient être très dangereux ou très tendre.C'était donc ce loup, le fidèl compagnon du roi.Le loup se retrouva rapidement sur le balcon et le monarque tira tout aussi rapidement les rideaux.La pièce était devenue plus sombre mais, pas complètement noir.Le roi s'approcha d'elle, sa main glissa le long de sa joue douce comme la soie.Noellu se sentit frissonner, pas par plaisir mais, par crainte.Le souverain frôla son décolleté, elle n'en fit pas tout un plat, elle devait se laisser faire, c'était la raison pour laquelle elle était ici.

Les affaires passent avant tout, en premier les problèmes d’états et après seulement venait le temps pour les femmes et le plaisir, dommage qu’elle se ferme de cette façon, il fallait être aveugle, son sentiment de crainte, l’avait comme refroidie du tout au tout, dommage madame, les premières fois sont pourtant les plus importantes. L’ange sombre avait l’habitude de rapidement juger et analyser les situations suivant toujours son esprit, la première solution était le plus souvent la meilleur.
Sur le même moment il se décolla complètement de Noellu, lui tournant le dos sur l’instant, il fit haussa ses épaules, geste simple, et il enleva sa veste, la déposant sur son bureau qui n’était plus vraiment très bien ranger, il avait toujours eut un petit côté bordélique, de toute façon depuis sa plus tendre enfance il y avait des gens qui rangeait derrière lui alors pourquoi apprendre à ranger, bien sur à l’époque sa mère le surveillait de prés mais qu’importe le jeune prince était un futé, op tout sous le lit ! Laissant paraître sa chemise sombre, elle lui avait proposé un massage non ? Donc qu’il en soit ainsi !

« Tu vas pouvoir commencer ! »

Déboutonnant un à un les boutons de sa chemise, il délivra donc son torse, laissant apparaître ses abdos très bien dessiner, même s’il était au dessus de tout le monde il s’entraînait tout de même, la preuve ça laisse des traces, il avait aussi une cicatrice partant de son pectoraux droit s’étendant sur une dizaine de centimètres à ce jour là, lui avait reçu une cicatrice mais ce qu’il avait voler à son adversaire était bien plus précieux, ses ailes !

Le bureau ne semblait pas très bien ranger mais, qu'est-ce que cela pouvait bien faire à Noellu.Elle aussi sont bureau était en désordre, remplit de vieux documents sur la guerre et de vieux ouvrage datant de plusieurs et nombreuses années.Ils y en avait même qu'elle devait traduire pour les comprendre un peu mais, parfois, pour y aller plus facilement, elle ne faisait que utiliser ses dons de voyances malgré le fait qu'elle adorait les défis.La veste du roi disparut bien rapidement, suivit du chandail de celui-ci.Le corps du roi était magnifique, il fallait dire aussi que celui-ci était encore bien jeune mais, trop vieux pour ne pas avoir d'enfant.Voilà une question bien interressante, le roi avait de nombreuses maîtresses mais, comment expliquer le fait qu'elles n'avaient jamais eu d'enfant du roi.Peut-être que le roi les assassinait dès qu'il apprenait la nouvelle? Ou peut-être que le roi était stérille, se qui serait tout un problème, qui montrerait sur le trône s'il n'y avait pas d'héritier? Voilà des questions qu'elle se poserait que bien plus tard, lorsqu'elle serait de nouveau seule et tranquille dans la bibliothèque ou dans sa chambre.Un simple et miniscule détail avait échapper à Noellu lorsqu'elle lui avait proposer un bon massage, les ailes du roi.

*Qu'est-ce que je suis supposer faire maintenant?*

Elle examina de plus près les ailes du roi, elles étaient assez imposantes et noir en plus! Le noir était une si belle couleur, même si elle n'était pas classer dans les couleurs, le blanc et le noir ne sont pas des couleurs, pourquoi? Certainement parce qu'elle ne sont que des couleurs vides.La musicienne s'avança vers le roi avec hésitation et cru bon de dire ses craintes au roi, qu'avait-elle donc à cacher, n'est-ce pas?

-Mon roi, j'ai peur de vous faire mal à cause de vos ailes...

Pourquoi aucune maîtresse n’eut se privilège ? Porter l’héritier de tout un empire, vous simple femme, trop bavarde et curieuse, une seule dame eut ce privilège cherchez-là si ça vous amuse mais elle morte oui, une femme qui n’eut pas la même vie que vous, une belle qui dut travailler depuis son plus jeune âge, une enfant aux mains si douce et au regard exceptionnel, elle était fille d’aubergiste, enfant unique du maître des lieux où les soldats du roi décidèrent un soir de ce reposer et cette nuit là une histoire d’amour vit le jour, mais chute c’est un secret ! Ne craint pas le futur, un roi il y en aura un, et il porte les même ailes sombres que son père, il est bien là mais tu ne le connais pas encore, si tu l’as certainement croisé dans les couloirs, mais sous ça cape de noble ce dissimule belle et bien un prince mystérieux !
Noellu s’approcha donc de lui mais avec hésitation, quelque chose devait la déranger et elle ne tarda pas à l’exprimer ! Ses ailes … C’était donc ça le si grand problème, il aurait pu en rire, elle était bien la première qui lui disait ça, généralement les femmes appréciaient ses longues plumes sombres, et pouvoir les toucher était même plus qu’un honneur pour elle ! Mais soit, Kyoya se redressa donc et rétrécit ses plumes, de cette façon elle était déjà moins imposante et normalement devrait moins gêner la dame !

« Tu moment que tu ne t’avise pas à vouloir m’enlever une plume je n’aurais pas mal ! »

Alors, le roi pouvait faire un peu rétrécire ses magnifiques ailes sombres, voilà qui était efficaces lorsqu'elles étaient imcombrantes pour faire quelque chose, aussi simple soit-elle.La musicienne s'approcha donc du monarque et passe un doigt le long de sa colonne vertébrale, une simple malformation de cet endroit dans le corps humain pouvait apporter la paralysation le reste d'une vie, ceux qui avaient connu se triste sort, avaient certainement du souffrir toute leur vie.Noellu déposa alors enfin ses deux mains sur le dos du souverain, cet homme pouvait vraiment être imposant quand il le voulait.

-Pourquoi voudrais-je vous arracher une plume?

C'est vrai, si elle voulait une plume, la musicienne n'avait qu'à en prendre une de son aigle Kazekiri ou alors, elle n'avait qu'à aller en forêt pour trouver se qu'elle cherchait.Mais à quoi bon cela lui servirait d'en chercher.Noellu commença à masser les épaules du monarque avec délicatesse, s'il voulait être masser à d'autre sendroits, il n'aurait qu'à lui dire et elle le ferai.

[J'avais pas vu ta réponse Oubs désolé je te répond demain encore désolé ]